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Home  /  Blog  /  Interviews  /  La nature sauvage: Laurent Baheux
15 mai 2015

La nature sauvage: Laurent Baheux

Written by admin 15 mai 2015
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Née à Poitiers en 1970, Laurent Baheux a découvert la passion pour la photographie durant son activité de journaliste pour un quotidien d’information locale. En 2002, un voyage en Tanzanie fait naître en lui en une seconde, le grand amour : celui pour l’Afrique.

Comment et à quel age es-tu arrivé au monde de la photographie?

Je suis arrivé à la photographie sur le tard après dès débuts comme rédacteur sportif dans un quotidien régional français. J’avais une vingtaine d’années, pas de formation et peu d’expérience. Le journal pour lequel j’écrivais m’a demandé de prendre des photos pour illustrer mes comptes rendus. Je me suis rapidement pris au jeu de l’image et j’ai perfectionné ma pratique sur le terrain. J’ai ensuite décidé de tenter ma chance en présentant un book aux quelques agences photo spécialisées dans le sport basées à Paris. L’une d’entre elle m’a fait confiance. Ça a été le début de ma carrière de photoreporter sportif.

Le sujet que tu prefères pour tes photos est la nature, surtout les paysages africains et les animaux qui y vivent. Porquoi es-tu si attaché à ces sujets ?

J’ai longtemps parcouru les terrains de sport, un peu partout dans le monde pour suivre des événements sportifs : Jeux Olympiques, Coupes du monde de football, de rugby, Grand Chelem de tennis, courses cyclistes… J’ai vécu la foule, la frénésie des grandes compétitions et le stress de l’actualité. L’Afrique est arrivée comme une parenthèse, un souffle de sérénité dans un rythme de vie soutenu. J’avais besoin de me reconnecter avec des choses simples et essentielles comme peut l’offrir le spectacle de la Nature et de la vie sauvage. L’Afrique fait partie de ces territoires où l’on peut avoir l’impression d’être seul au monde. J’y suis attaché comme je suis attaché à tout ce qui permet la nature avec un grand « N ».

Tu soutiens les progets en faveur des espèces animales à risque et de la conservatione de la biodiversité. Quelle est la valeur ajouté par l’activité d’un photograph au soutien de ces projets?

Pour pouvoir – encore – photographier les animaux, il faut les protéger. Mon engagement aux côtés d’ONGs est donc un prolongement naturel de mon activité. Mon regard monochrome a séduit le WWF ou l’UNEP (Programme des Nations Unies pour l’Environnement) car il est décalé des standards de la photographie animalière. Je cherche des attitudes, des regards, des personnalités plutôt que des scènes de prédation par exemple. C’est cette dimension sensible qui semble justement convenir aux discours de préservation tenus par les associations. Il est important que le grand public comprenne que TOUS les animaux et plus largement le vivant est doté d’émotions et de sensibilité. Ce sont nos semblables et il faut les respecter.

Tu realises photos en noir et blanc. Pourquoi ce choix chromatique? Quel sont les avantages?

J’ai débuté la photographie au labo avec des pellicules argentiques monochromes. Je passais beaucoup de temps à développer mes films et j’adorais ça. Quand j’ai débuté mon travail personnel sur l’Afrique, j’ai tout de suite voulu l’exploiter en noir et blanc. L’Afrique est riche de couleurs mais pour moi c’est avant tout une terre de lumières et de contrastes. De mon point de vue, le noir et blanc ajoute une dimension esthétique et dramatique qui convient à ma perception de la vie sauvage. Il y a probablement aussi un côté nostalgique que je ne peux m’empêcher d’avoir quand je vois la réduction progressive et inéluctable des zones réservées à la nature.

Du point de vue technique, quelle est ton instrumentation pour un set photographique?

Quand je pars en reportage, j’essaie de voyager « léger ». Il faut que tout mon matériel tienne dans un bagage cabine car il est hors de question de le mettre en soute ! J’emporte plusieurs boitiers (Nikon D3/ D4 et D800) et plusieurs objectifs (800 AFS VR f 5-6, 80-400 AFS VR2, 70-200 AFS VR2, 24-120 AFS VR f4). Les longues focales me permettent de ne pas interférer sur l’espace des animaux. Je reste à bonne distance pour ma sécurité mais surtout pour la leur. J’ai aussi pas mal de cartes mémoire et une batterie avec panneaux solaires en cas de période prolongée en pleine nature.

Quels sont les prochains projets où tu seras engagé?

Je viens de débuter une série sur les territoires sauvages de l’ouest américain, toujours en noir et blanc qui est actuellement en exposition dans les galeries YellowKorner, un peu partout dans le monde. En effet, parmi les maitres qui m’inspirent, comme Peter Beard avec l’Afrique, Ansel Adams tient une place privilégiée. C’est un photographe et un environnementaliste américain que j’admire. Il a notamment réalisé des paysages sublimes sur le Grand Teton, le Yosemite ou encore la Vallée de la Mort. En suivant ses traces, je me suis plongé dans les plaines, les montagnes, les déserts des États-Unis… L’Amérique est ainsi : changeante, libre, surprenante et immense… oui, immensément sauvage.

admin

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